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CONTES ET MYSTERES DU PAYS AMOUREUX
GOUGAUD HENRI
ALBIN MICHEL
Format : 20 x 110 x 180
Reliure : Poche
Référence : 9782226443014
Date de parution : 24/04/2019
Reliure : Poche
Référence : 9782226443014
Date de parution : 24/04/2019
En résumé
Description :
L'amour. C'est un rêve, un souci, un désir, un compagnon sur le chemin de nos vies. Nous ne pouvons pas nous empêcher de l'interroger, de le bénir, de le maudire. Paradoxalement, même quand nous le fuyons, nous ne cessons de l'espérer. Pourrions-nous vivre sans lui, sans ses tempêtes, ses refuges, ses cavalcades ?
À explorer sans repos les mille chemins de l'espérance humaine, les contes, au fil des âges, ont appris la musique de ce coeur du monde qu'est l'amour. Henri Gougaud, l'un de nos plus grands conteurs, nous en propose soixante-quinze, pour nous éclairer, nous amuser, et cheminer avec nous dans le jeu le plus mystérieux du monde : le jeu de l'amour et du hasard.
« Je sais, pour les avoir fréquentés toute ma vie, que les contes sont des êtres attentifs et bienveillants. Ils répondent toujours à nos questions, pour peu qu'ils soient interrogés avec cette innocence dont ils sont eux-mêmes pétris. »
Henri Gougaud
L'amour. C'est un rêve, un souci, un désir, un compagnon sur le chemin de nos vies. Nous ne pouvons pas nous empêcher de l'interroger, de le bénir, de le maudire. Paradoxalement, même quand nous le fuyons, nous ne cessons de l'espérer. Pourrions-nous vivre sans lui, sans ses tempêtes, ses refuges, ses cavalcades ?
À explorer sans repos les mille chemins de l'espérance humaine, les contes, au fil des âges, ont appris la musique de ce coeur du monde qu'est l'amour. Henri Gougaud, l'un de nos plus grands conteurs, nous en propose soixante-quinze, pour nous éclairer, nous amuser, et cheminer avec nous dans le jeu le plus mystérieux du monde : le jeu de l'amour et du hasard.
« Je sais, pour les avoir fréquentés toute ma vie, que les contes sont des êtres attentifs et bienveillants. Ils répondent toujours à nos questions, pour peu qu'ils soient interrogés avec cette innocence dont ils sont eux-mêmes pétris. »
Henri Gougaud