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BLACKWATER 2 - LA DIGUE - L'EPIQUE SAGA DE LA FAMILLE CASKEY
MCDOWELL MICHAEL
LOUVERTURE
Format : 19 x 108 x 165
Reliure : Poche
Référence : 9782381960463
Date de parution : 22/04/2022
Reliure : Poche
Référence : 9782381960463
Date de parution : 22/04/2022
En résumé
Description :
Tandis que la ville se remet à peine d'une crue dévastatrice, le chantier d'une digue censée la protéger charrie son lot de conséquences : main d'?uvre incontrôlable, courants capricieux, disparitions inquiétantes.
Pendant ce temps, dans le clan Caskey, Mary-Love, la matriarche, voit ses machinations se heurter à celles d'Elinor, son étrange belle-fille, mais la lutte ne fait que commencer.
Manigances, alliances contre-nature, sacrifices, tout est permis. À Perdido, les mutations seront profondes, et les conséquences, irréversibles.
Au-delà des manipulations et des rebondissements, de l'amour et de la haine, Michael McDowell (1950-1999), ¬co-créateur des mythiques Beetlejuice et L'Étrange Noël de Monsieur Jack, et auteur d'une trentaine de livres, réussit avec Blackwater à bâtir une saga en six romans aussi -addictive qu'une série Netflix, baignée d'une atmosphère unique et fascinante digne de Stephen King.
Découvrez le deuxième épisode de Blackwater, une saga matriarcale avec une touche de surnaturel et un soupçon d'horreur.
Presse
À la façon d'un fleuve, le style de Michael McDowell coule de source, et il ne lui faut pas plus d'une dizaine de pages pour nous plonger dans ce petit monde. Morts (plus ou moins naturelles), mariages, naissances, maladies, luttes de pouvoir et d'influence, Michael McDowell tisse une fascinante histoire de transmission à rebours des conventions. ? Elle
Métamorphoses et fantômes ne sont que quelques-uns des ressorts fantastiques qui irriguent ici le réalisme de surface, drapant de bout en bout Blackwater d'une inquiétante, délicieuse, irrésistible étrangeté. ? Télérama
Cette fresque intensément romanesque bouleverse, effraie, fascine et transporte. Ses personnages féminins en particulier, se révèlent inoubliables. Des heures de lectures intenses au c?ur de la contrée imaginaire de Perdido. ? Lire
Son style n'a rien de banal, qui mélange avec audace des images frappantes, un humour noir nourri par son regard acerbe sur les m?urs et des hallucinations effrayantes. ? Les Inrocks
Michael McDowell se souciait fort peu de la postérité. Il se targuait d'être un ?écrivain commercial?, un ?artisan? dont le style était guidé par la recherche de clarté et de précision. Son dessein était aussi humble qu'ambitieux : procurer du plaisir aux lecteurs. Force est de constater que celui-ci demeure inentamé au fil des ans. Blackwater, c'est le plaisir retrouvé du roman-feuilleton. ? Le Monde
4e de couverture :
Tandis que la ville se remet à peine d'une crue dévastatrice, le chantier d'une digue censée la protéger charrie son lot de conséquences : main d'?uvre incontrôlable, courants capricieux, disparitions inquiétantes.
Pendant ce temps, dans le clan Caskey, Mary-Love, la matriarche, voit ses machinations se heurter à celles d'Elinor, son étrange belle-fille, mais la lutte ne fait que commencer.
Manigances, alliances contre-nature, sacrifices, tout est permis. À Perdido, les mutations seront profondes, et les conséquences, irréversibles.
Au-delà des manipulations et des rebondissements, de l'amour et de la haine, Michael McDowell (1950-1999), ¬co-créateur des mythiques Beetlejuice et L'Étrange Noël de Monsieur Jack, et auteur d'une trentaine de livres, réussit avec Blackwater à bâtir une saga en six romans aussi -addictive qu'une série Netflix, baignée d'une atmosphère unique et fascinante digne de Stephen King.
Découvrez le deuxième épisode de Blackwater, une saga matriarcale avec une touche de surnaturel et un soupçon d'horreur.
Presse
À la façon d'un fleuve, le style de Michael McDowell coule de source, et il ne lui faut pas plus d'une dizaine de pages pour nous plonger dans ce petit monde. Morts (plus ou moins naturelles), mariages, naissances, maladies, luttes de pouvoir et d'influence, Michael McDowell tisse une fascinante histoire de transmission à rebours des conventions. ? Elle
Métamorphoses et fantômes ne sont que quelques-uns des ressorts fantastiques qui irriguent ici le réalisme de surface, drapant de bout en bout Blackwater d'une inquiétante, délicieuse, irrésistible étrangeté. ? Télérama
Cette fresque intensément romanesque bouleverse, effraie, fascine et transporte. Ses personnages féminins en particulier, se révèlent inoubliables. Des heures de lectures intenses au c?ur de la contrée imaginaire de Perdido. ? Lire
Son style n'a rien de banal, qui mélange avec audace des images frappantes, un humour noir nourri par son regard acerbe sur les m?urs et des hallucinations effrayantes. ? Les Inrocks
Michael McDowell se souciait fort peu de la postérité. Il se targuait d'être un ?écrivain commercial?, un ?artisan? dont le style était guidé par la recherche de clarté et de précision. Son dessein était aussi humble qu'ambitieux : procurer du plaisir aux lecteurs. Force est de constater que celui-ci demeure inentamé au fil des ans. Blackwater, c'est le plaisir retrouvé du roman-feuilleton. ? Le Monde
Tandis que la ville se remet à peine d'une crue dévastatrice, le chantier d'une digue censée la protéger charrie son lot de conséquences : main d'?uvre incontrôlable, courants capricieux, disparitions inquiétantes.
Pendant ce temps, dans le clan Caskey, Mary-Love, la matriarche, voit ses machinations se heurter à celles d'Elinor, son étrange belle-fille, mais la lutte ne fait que commencer.
Manigances, alliances contre-nature, sacrifices, tout est permis. À Perdido, les mutations seront profondes, et les conséquences, irréversibles.
Au-delà des manipulations et des rebondissements, de l'amour et de la haine, Michael McDowell (1950-1999), ¬co-créateur des mythiques Beetlejuice et L'Étrange Noël de Monsieur Jack, et auteur d'une trentaine de livres, réussit avec Blackwater à bâtir une saga en six romans aussi -addictive qu'une série Netflix, baignée d'une atmosphère unique et fascinante digne de Stephen King.
Découvrez le deuxième épisode de Blackwater, une saga matriarcale avec une touche de surnaturel et un soupçon d'horreur.
Presse
À la façon d'un fleuve, le style de Michael McDowell coule de source, et il ne lui faut pas plus d'une dizaine de pages pour nous plonger dans ce petit monde. Morts (plus ou moins naturelles), mariages, naissances, maladies, luttes de pouvoir et d'influence, Michael McDowell tisse une fascinante histoire de transmission à rebours des conventions. ? Elle
Métamorphoses et fantômes ne sont que quelques-uns des ressorts fantastiques qui irriguent ici le réalisme de surface, drapant de bout en bout Blackwater d'une inquiétante, délicieuse, irrésistible étrangeté. ? Télérama
Cette fresque intensément romanesque bouleverse, effraie, fascine et transporte. Ses personnages féminins en particulier, se révèlent inoubliables. Des heures de lectures intenses au c?ur de la contrée imaginaire de Perdido. ? Lire
Son style n'a rien de banal, qui mélange avec audace des images frappantes, un humour noir nourri par son regard acerbe sur les m?urs et des hallucinations effrayantes. ? Les Inrocks
Michael McDowell se souciait fort peu de la postérité. Il se targuait d'être un ?écrivain commercial?, un ?artisan? dont le style était guidé par la recherche de clarté et de précision. Son dessein était aussi humble qu'ambitieux : procurer du plaisir aux lecteurs. Force est de constater que celui-ci demeure inentamé au fil des ans. Blackwater, c'est le plaisir retrouvé du roman-feuilleton. ? Le Monde
4e de couverture :
Tandis que la ville se remet à peine d'une crue dévastatrice, le chantier d'une digue censée la protéger charrie son lot de conséquences : main d'?uvre incontrôlable, courants capricieux, disparitions inquiétantes.
Pendant ce temps, dans le clan Caskey, Mary-Love, la matriarche, voit ses machinations se heurter à celles d'Elinor, son étrange belle-fille, mais la lutte ne fait que commencer.
Manigances, alliances contre-nature, sacrifices, tout est permis. À Perdido, les mutations seront profondes, et les conséquences, irréversibles.
Au-delà des manipulations et des rebondissements, de l'amour et de la haine, Michael McDowell (1950-1999), ¬co-créateur des mythiques Beetlejuice et L'Étrange Noël de Monsieur Jack, et auteur d'une trentaine de livres, réussit avec Blackwater à bâtir une saga en six romans aussi -addictive qu'une série Netflix, baignée d'une atmosphère unique et fascinante digne de Stephen King.
Découvrez le deuxième épisode de Blackwater, une saga matriarcale avec une touche de surnaturel et un soupçon d'horreur.
Presse
À la façon d'un fleuve, le style de Michael McDowell coule de source, et il ne lui faut pas plus d'une dizaine de pages pour nous plonger dans ce petit monde. Morts (plus ou moins naturelles), mariages, naissances, maladies, luttes de pouvoir et d'influence, Michael McDowell tisse une fascinante histoire de transmission à rebours des conventions. ? Elle
Métamorphoses et fantômes ne sont que quelques-uns des ressorts fantastiques qui irriguent ici le réalisme de surface, drapant de bout en bout Blackwater d'une inquiétante, délicieuse, irrésistible étrangeté. ? Télérama
Cette fresque intensément romanesque bouleverse, effraie, fascine et transporte. Ses personnages féminins en particulier, se révèlent inoubliables. Des heures de lectures intenses au c?ur de la contrée imaginaire de Perdido. ? Lire
Son style n'a rien de banal, qui mélange avec audace des images frappantes, un humour noir nourri par son regard acerbe sur les m?urs et des hallucinations effrayantes. ? Les Inrocks
Michael McDowell se souciait fort peu de la postérité. Il se targuait d'être un ?écrivain commercial?, un ?artisan? dont le style était guidé par la recherche de clarté et de précision. Son dessein était aussi humble qu'ambitieux : procurer du plaisir aux lecteurs. Force est de constater que celui-ci demeure inentamé au fil des ans. Blackwater, c'est le plaisir retrouvé du roman-feuilleton. ? Le Monde